Orelia

Presque un an jour pour jour après avoir dû fermer ses portes, la maison de repos ‘Le Jardin Intérieur’ a pu rouvrir ses portes pour accueillir à nouveau la famille des résidents – deux à la fois et toujours les mêmes pendant une période de temps – en chambre. Orelia, le groupe dont fait partie la maison de repos, voulait parler de cette nouvelle positive dans la presse régionale. Voici comment nous nous y sommes pris pour intéresser les journalistes à parler du “Jardin Intérieur” dans la presse régionale:
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Nous avons contacté les journalistes régionaux qui couvrent la région de Frasnes et nous leur avons proposé l’histoire. Notre pitch était le fait que, grâce aux strictes mesures prises de mars 2020 à mars 2021, la maison de repos n’a pas eu de cas de Covid à déplorer, ce qui est un fait assez unique pour une maison de repos – sauf chez des personnes qui revenaient d’un séjour à l’hôpital, mais qui étaient tout de suite mis en quarantaine. 

Si l’on compare la situation dans laquelle s’est trouvée Le Jardin Intérieur à celle dans la plupart des maisons de repos en Belgique – où malheureusement le Covid a bien circulé, cette maison de repos est un bon exemple de comment la situation pouvait aussi être gérée. C’est entre-autre parce que la maison de repos a fermée ses portes avant le confinement propre dit (le 8/3 au lieu du 15/3, début du confinement en Belgique) et parce que une partie des collaborateurs s’est mis volontairement en quarantaine avec les résidents mi-mars 2020 que maintenant ils peuvent ouvrir prudemment leurs portes. 

Bien sûr, les résidents ont pu, comme dans bon nombre d’autres maisons de repos, voir leur famille à travers la vitre, grâce à un téléphone installé à cet effet. Orelia a aussi pris les mesures nécessaires pour empêcher la propagation du virus et veiller au bien-être des collaborateurs et des résidents.

L’histoire du Jardin Intérieur n’est donc pas unique, mais elle a quand même rempli deux pages complètes dans les pages régionales de Sudpresse et de l’Avenir et une demi-page dans la Dernière Heure. Pourquoi? Parce que le journaliste a pu se rendre sur place, en suivant bien sûr les mesures de sécurité strictes liés au coronavirus, a pu parler avec les résidents et les prendre en photo (ce qui rend l’histoire plus visuelle et qui permet aussi aux personnes qui lisent l’article de se reconnaître eux-mêmes ou leurs proches dans l’histoire) et avec le directeur et parce que nous avons proposé cette histoire aux journalistes alors que tout partout en Belgique, début mars, dans les maisons de repos, la plupart des résidents – et des collaborateurs – étaient vaccinés (et les visites à nouveau petit à petit autorisées). 

Nous avons aussi accompagné le directeur de la maison de repos lors de ces interviews. Il a donc pu donner ses interviews sans stress … et était très content de pouvoir parler de “sa” maison de repos dans la presse. Ou comment, avec un minimum de formation, une maison de repos peut remplir trois pages régionales dans trois journaux différents et faire paraître deux articles en ligne dans La Dernière Heure et dans Sudpresse.

L’Avenir/Le Courrier – 3/3/2021
Sudpresse/Nord Eclair – 2/3/2021
La Dernière Heure – 6/3/2021

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